Le film documentaire l’Albatros réalisé par JP Mothes, étalonné et monté par Pierre Fréchou, est un documentaire qui retrace une période de ma vie. Ce film n’était pas prévu au départ comme un projet à part entière. Nous avions des stocks d’images qui ont été effectuées avec le journaliste Arnaud Lauqué, des images vidéos de Gabriel Rumbolo, des vidéos de Fred Berho, etc…
Ce film de 52 minutes m’a obligé à me replonger dans certains épisodes de ma vie privée qui ne sont pas toujours facile à exprimer. Je pensais que livrer une histoire vraie et forte associée à des images « uniques » suffisait, mais il a fallu s’impliquer dans le travail avec l’équipe de réalisation. Au départ mon idée était de mettre en avant une façon esthétique de voir la glisse, associé au patrimoine architectural français, le tout exprimant la liberté. Il est vrai que je suis très attaché à cette liberté de penser, liberté au sens large du terme mais que l’on peut décliner à souhait…
J’ai décidé d’accepter de parler et de montrer ce que j’avais enfoui au fond de moi. Le sport, l’Océan, la reconquête de moi-même, les sports de glisse, l’effort ont été mon exutoire pendant de nombreuses années.
Je reconnais l’implication et le travail de fond du réalisateur Jean-Patrick Mothes. Il a su retracer ce chapitre de ma vie et respecter nos accords. Pierre Fréchou le chef opérateur a su capter des images « uniques » et rares. Il a apporté sa contribution et ses compétences en plus de son important travail de montage. Greg Rabejac ami et co-équipier de toujours était présent, pas seulement dans son rôle de photographe. Il témoigne sincèrement. J’ai travaillé avec Emilie Germain qui a oeuvré pour un accès médiatique de qualité. Xabi co-équipier et multitâche a su me donner confiance dans les moments difficiles. Tout cela avec l’équipe Oxbow qui a beaucoup œuvrée pour faire le lien (ainsi que la superbe affiche) pour que ce documentaire soit à la hauteur de nos attentes respectives. C’est vraiment un travail d’équipe !
Je n’oublie pas le travail du son, des choix musicaux, de la narration et bien d’autres points qui passent en retrait mais sans qui il ne serait pas possible d’avoir un travail de qualité… je n’oublie ceux et celles autour de moi qui ont créé du lien, du soutien, et qui ont enrichi ma vie et enrichi ce film documentaire. Leur rôle pouvait être multiple.
J’en profite pour remercier sincèrement mon partenaire Oxbow et tous ceux et celles qui ont contribué au succès de ce film-documentaire.
Si vous voulez voir le film-documentaire dans sa version intégrale, rendez-vous sur ce lien.
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