C’est un endroit magnifique et magnétique.
C’est un haut fond transfrontalier qui apporte la richesse des échanges basés sur le long terme.
Certains passionnés viennent de la côte basque espagnole et sont « Hegoalde », d’autres viennent de la côte basco-landaise et sont « Ipparalde ». Il faut malgré tout garder à l’esprit que ce lieu est bel et bien situé en région Hegoalde. Tous les challengers présents ont des parcours bien à eux : anciens rameurs de traînières, marin ou voileux, pêcheurs, sauveteurs en mer, rameurs de pirogue polynésienne ou d’autres supports, nageurs, bodysurfeurs et biensûr surfeurs.
Ici, on y vient à la rame, par ses propres moyens. On y assume les risques et cela crée une solidarité. Les habitués ont dû franchir de nombreux paliers pour en arriver là et ils savent apprécier de manière juste les risques encourus. Ils sont équipés de gilets de sécurité type impact vest. Il y a du respect entre ceux qui aiment l’océan et l’endroit.
Le partage et la solidarité font partie intégrante des grands plaisirs que nous apporte le surf et plus particulièrement le surf de gros.
Je vous invite à découvrir les photos des photographes Vincent Lantignac et Lilian Haristoy, ainsi qu’une vidéo réalisée par Lilian Haristoy et BFT Média.
Laisser un commentaire